Pierre-Emmanuel Barré lors de sa chronique dans « La Dernière », émission de Radio Nova, qui a été enregistrée à la fête de l'Huma de 2025. Il est assis à côté des autres chroniqueurs sur scène, face à une grande foule.
Luc, framage
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Nartagnan ⏚
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Eeeeet c’est encore une énième manif contre un pouvoir illégitime, sourd et aveugle (mais hélas pas muet). Comme d’accoutumée les robocops surarmés sont de sortie, avec ordre de se faire plaisir sur la tonfa. Une bande de petits vieux défile avec des pancartes « cœur ». Jean-Robocop lance à la mamie du devant : « Vous allez roter du sang, bande de TERRORISTES ! » La mamie, interloquée : « Quoi ? » Puis les robocops se mettent à robocoper avec tact (ils tabassent et gazent tout le monde). La mamie, au sol : « Mais on ne fait que marcher pacifiquement dans la rue ! » Dans la dernière case, on retrouve la même mamie, les lunettes à peine désaxées mais désormais vêtue de noir de pied en cape, un cocktail molotov et une barre à mine à la main. Son collègue petit vieux l’interpelle : « Eh bin ? » Mamie répond : « Quitte à se faire gazer, autant se faire plaisir. » [fin]
Eeeeet c’est encore une énième manif contre un pouvoir illégitime, sourd et aveugle (mais hélas pas muet). Comme d’accoutumée les robocops surarmés sont de sortie, avec ordre de se faire plaisir sur la tonfa. Une bande de petits vieux défile avec des pancartes « cœur ». Jean-Robocop lance à la mamie du devant : « Vous allez roter du sang, bande de TERRORISTES ! » La mamie, interloquée : « Quoi ? » Puis les robocops se mettent à robocoper avec tact (ils tabassent et gazent tout le monde). La mamie, au sol : « Mais on ne fait que marcher pacifiquement dans la rue ! » Dans la dernière case, on retrouve la même mamie, les lunettes à peine désaxées mais désormais vêtue de noir de pied en cape, un cocktail molotov et une barre à mine à la main. Son collègue petit vieux l’interpelle : « Eh bin ? » Mamie répond : « Quitte à se faire gazer, autant se faire plaisir. » [fin]
Eeeeet c’est encore une énième manif contre un pouvoir illégitime, sourd et aveugle (mais hélas pas muet). Comme d’accoutumée les robocops surarmés sont de sortie, avec ordre de se faire plaisir sur la tonfa. Une bande de petits vieux défile avec des pancartes « cœur ». Jean-Robocop lance à la mamie du devant : « Vous allez roter du sang, bande de TERRORISTES ! » La mamie, interloquée : « Quoi ? » Puis les robocops se mettent à robocoper avec tact (ils tabassent et gazent tout le monde). La mamie, au sol : « Mais on ne fait que marcher pacifiquement dans la rue ! » Dans la dernière case, on retrouve la même mamie, les lunettes à peine désaxées mais désormais vêtue de noir de pied en cape, un cocktail molotov et une barre à mine à la main. Son collègue petit vieux l’interpelle : « Eh bin ? » Mamie répond : « Quitte à se faire gazer, autant se faire plaisir. » [fin]
Eeeeet c’est encore une énième manif contre un pouvoir illégitime, sourd et aveugle (mais hélas pas muet). Comme d’accoutumée les robocops surarmés sont de sortie, avec ordre de se faire plaisir sur la tonfa. Une bande de petits vieux défile avec des pancartes « cœur ». Jean-Robocop lance à la mamie du devant : « Vous allez roter du sang, bande de TERRORISTES ! » La mamie, interloquée : « Quoi ? » Puis les robocops se mettent à robocoper avec tact (ils tabassent et gazent tout le monde). La mamie, au sol : « Mais on ne fait que marcher pacifiquement dans la rue ! » Dans la dernière case, on retrouve la même mamie, les lunettes à peine désaxées mais désormais vêtue de noir de pied en cape, un cocktail molotov et une barre à mine à la main. Son collègue petit vieux l’interpelle : « Eh bin ? » Mamie répond : « Quitte à se faire gazer, autant se faire plaisir. » [fin]
extrait 

Au final, la différence entre, d’un côté le coût brut des baisses et les recettes générées par les mesures prises (nos « retours d’impôt ») et, de l’autre côté, les résultats en termes d’emplois permet de dégager un solde net, un coût budgétaire net. Nous l’évaluons à 450 milliards d’euros si l’on comptabilise les mesures prises depuis 2014. Cette estimation est confortée par celle de la Cour des comptes qui estime que les baisses d’impôts qui ont été progressivement mises en œuvre ont provoqué un manque à gagner de 62 milliards d’euros sur la seule année 2024 (soit l’équivalent du budget de l’Éducation nationale hors enseignement supérieur). Si ces mesures n’avaient pas été mises en œuvre, nous avons calculé que la dette publique s’élèverait à 93,8 % du PIB fin 2023 au lieu de près de 110 %.
extrait Au final, la différence entre, d’un côté le coût brut des baisses et les recettes générées par les mesures prises (nos « retours d’impôt ») et, de l’autre côté, les résultats en termes d’emplois permet de dégager un solde net, un coût budgétaire net. Nous l’évaluons à 450 milliards d’euros si l’on comptabilise les mesures prises depuis 2014. Cette estimation est confortée par celle de la Cour des comptes qui estime que les baisses d’impôts qui ont été progressivement mises en œuvre ont provoqué un manque à gagner de 62 milliards d’euros sur la seule année 2024 (soit l’équivalent du budget de l’Éducation nationale hors enseignement supérieur). Si ces mesures n’avaient pas été mises en œuvre, nous avons calculé que la dette publique s’élèverait à 93,8 % du PIB fin 2023 au lieu de près de 110 %.
Baisses d’impôt : un gâchis de 450 milliards d’euros pour la France

En dix années, les politiques de baisse d’impôts ont fait perdre 450 milliards d’euros à la collectivité. Un immense gaspillage qui a contribué à la hausse de la dette publique. Le point de vue de Vincent Gath-Drezet, expert en fiscalité de l’association Attac.
Baisses d’impôt : un gâchis de 450 milliards d’euros pour la France En dix années, les politiques de baisse d’impôts ont fait perdre 450 milliards d’euros à la collectivité. Un immense gaspillage qui a contribué à la hausse de la dette publique. Le point de vue de Vincent Gath-Drezet, expert en fiscalité de l’association Attac.