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Thomas Dreneau
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Schizo Freine
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Mediapart
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Parleur
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Dimanche au plan d'eau de la Germanette, la surveillante de baignade a interpellé deux adolescentes qui se baignaient avec une tenue couvrante pour leur demander de sortir de l’eau. Elle a prétexté que le règlement intérieur interdisait ce type de tenue, tout en ajoutant que c’était « une honte de se baigner comme ça », que « si elles étaient pas contentes, elles avaient qu’à retourner en Iran »… L’entourage des deux personnes a tenté de discuter avec elle, puis quelques autres personnes sont intervenues pour lui faire remarquer la teneur xénophobe de ses propos et lui demander de les laisser tranquille. Elle a finit par partir et appeler la gendarmerie. (Comme quelqu’un lui avait fait judicieusement remarquer qu’elle était plus scrupuleuse sur le règlement avec certaines qu’avec d’autres, elle a vite été demander à une personne qui était là depuis plusieurs heures avec son chien de partir, juste avant l’arrivée des gendarmes) Les deux gendarmes envoyés sur place ont tenté de se justifier par des considérations vaseuses sur les difficultés de sauvetage inhérentes au port de vêtements « amples » (sans pouvoir établir de différence significative entre la tenue incriminée et celle d’autres personnes qui se baignaient par exemple en T-shirt), puis ont exigé que les deux personnes sortent de l’eau. Tout en leur suggérant d’aller se baigner dans le bassin d’à côté (c’est à dire celui normalement réservé aux pédalos, où il est indiqué « BAIGNADE INTERDITE »).
Dimanche au plan d'eau de la Germanette, la surveillante de baignade a interpellé deux adolescentes qui se baignaient avec une tenue couvrante pour leur demander de sortir de l’eau. Elle a prétexté que le règlement intérieur interdisait ce type de tenue, tout en ajoutant que c’était « une honte de se baigner comme ça », que « si elles étaient pas contentes, elles avaient qu’à retourner en Iran »… L’entourage des deux personnes a tenté de discuter avec elle, puis quelques autres personnes sont intervenues pour lui faire remarquer la teneur xénophobe de ses propos et lui demander de les laisser tranquille. Elle a finit par partir et appeler la gendarmerie. (Comme quelqu’un lui avait fait judicieusement remarquer qu’elle était plus scrupuleuse sur le règlement avec certaines qu’avec d’autres, elle a vite été demander à une personne qui était là depuis plusieurs heures avec son chien de partir, juste avant l’arrivée des gendarmes) Les deux gendarmes envoyés sur place ont tenté de se justifier par des considérations vaseuses sur les difficultés de sauvetage inhérentes au port de vêtements « amples » (sans pouvoir établir de différence significative entre la tenue incriminée et celle d’autres personnes qui se baignaient par exemple en T-shirt), puis ont exigé que les deux personnes sortent de l’eau. Tout en leur suggérant d’aller se baigner dans le bassin d’à côté (c’est à dire celui normalement réservé aux pédalos, où il est indiqué « BAIGNADE INTERDITE »).
Dimanche au plan d'eau de la Germanette, la surveillante de baignade a interpellé deux adolescentes qui se baignaient avec une tenue couvrante pour leur demander de sortir de l’eau. Elle a prétexté que le règlement intérieur interdisait ce type de tenue, tout en ajoutant que c’était « une honte de se baigner comme ça », que « si elles étaient pas contentes, elles avaient qu’à retourner en Iran »… L’entourage des deux personnes a tenté de discuter avec elle, puis quelques autres personnes sont intervenues pour lui faire remarquer la teneur xénophobe de ses propos et lui demander de les laisser tranquille. Elle a finit par partir et appeler la gendarmerie. (Comme quelqu’un lui avait fait judicieusement remarquer qu’elle était plus scrupuleuse sur le règlement avec certaines qu’avec d’autres, elle a vite été demander à une personne qui était là depuis plusieurs heures avec son chien de partir, juste avant l’arrivée des gendarmes) Les deux gendarmes envoyés sur place ont tenté de se justifier par des considérations vaseuses sur les difficultés de sauvetage inhérentes au port de vêtements « amples » (sans pouvoir établir de différence significative entre la tenue incriminée et celle d’autres personnes qui se baignaient par exemple en T-shirt), puis ont exigé que les deux personnes sortent de l’eau. Tout en leur suggérant d’aller se baigner dans le bassin d’à côté (c’est à dire celui normalement réservé aux pédalos, où il est indiqué « BAIGNADE INTERDITE »).
Parleur
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Dimanche au plan d'eau de la Germanette, la surveillante de baignade a interpellé deux adolescentes qui se baignaient avec une tenue couvrante pour leur demander de sortir de l’eau. Elle a prétexté que le règlement intérieur interdisait ce type de tenue, tout en ajoutant que c’était « une honte de se baigner comme ça », que « si elles étaient pas contentes, elles avaient qu’à retourner en Iran »… L’entourage des deux personnes a tenté de discuter avec elle, puis quelques autres personnes sont intervenues pour lui faire remarquer la teneur xénophobe de ses propos et lui demander de les laisser tranquille. Elle a finit par partir et appeler la gendarmerie. (Comme quelqu’un lui avait fait judicieusement remarquer qu’elle était plus scrupuleuse sur le règlement avec certaines qu’avec d’autres, elle a vite été demander à une personne qui était là depuis plusieurs heures avec son chien de partir, juste avant l’arrivée des gendarmes) Les deux gendarmes envoyés sur place ont tenté de se justifier par des considérations vaseuses sur les difficultés de sauvetage inhérentes au port de vêtements « amples » (sans pouvoir établir de différence significative entre la tenue incriminée et celle d’autres personnes qui se baignaient par exemple en T-shirt), puis ont exigé que les deux personnes sortent de l’eau. Tout en leur suggérant d’aller se baigner dans le bassin d’à côté (c’est à dire celui normalement réservé aux pédalos, où il est indiqué « BAIGNADE INTERDITE »).
Dimanche au plan d'eau de la Germanette, la surveillante de baignade a interpellé deux adolescentes qui se baignaient avec une tenue couvrante pour leur demander de sortir de l’eau. Elle a prétexté que le règlement intérieur interdisait ce type de tenue, tout en ajoutant que c’était « une honte de se baigner comme ça », que « si elles étaient pas contentes, elles avaient qu’à retourner en Iran »… L’entourage des deux personnes a tenté de discuter avec elle, puis quelques autres personnes sont intervenues pour lui faire remarquer la teneur xénophobe de ses propos et lui demander de les laisser tranquille. Elle a finit par partir et appeler la gendarmerie. (Comme quelqu’un lui avait fait judicieusement remarquer qu’elle était plus scrupuleuse sur le règlement avec certaines qu’avec d’autres, elle a vite été demander à une personne qui était là depuis plusieurs heures avec son chien de partir, juste avant l’arrivée des gendarmes) Les deux gendarmes envoyés sur place ont tenté de se justifier par des considérations vaseuses sur les difficultés de sauvetage inhérentes au port de vêtements « amples » (sans pouvoir établir de différence significative entre la tenue incriminée et celle d’autres personnes qui se baignaient par exemple en T-shirt), puis ont exigé que les deux personnes sortent de l’eau. Tout en leur suggérant d’aller se baigner dans le bassin d’à côté (c’est à dire celui normalement réservé aux pédalos, où il est indiqué « BAIGNADE INTERDITE »).
Dimanche au plan d'eau de la Germanette, la surveillante de baignade a interpellé deux adolescentes qui se baignaient avec une tenue couvrante pour leur demander de sortir de l’eau. Elle a prétexté que le règlement intérieur interdisait ce type de tenue, tout en ajoutant que c’était « une honte de se baigner comme ça », que « si elles étaient pas contentes, elles avaient qu’à retourner en Iran »… L’entourage des deux personnes a tenté de discuter avec elle, puis quelques autres personnes sont intervenues pour lui faire remarquer la teneur xénophobe de ses propos et lui demander de les laisser tranquille. Elle a finit par partir et appeler la gendarmerie. (Comme quelqu’un lui avait fait judicieusement remarquer qu’elle était plus scrupuleuse sur le règlement avec certaines qu’avec d’autres, elle a vite été demander à une personne qui était là depuis plusieurs heures avec son chien de partir, juste avant l’arrivée des gendarmes) Les deux gendarmes envoyés sur place ont tenté de se justifier par des considérations vaseuses sur les difficultés de sauvetage inhérentes au port de vêtements « amples » (sans pouvoir établir de différence significative entre la tenue incriminée et celle d’autres personnes qui se baignaient par exemple en T-shirt), puis ont exigé que les deux personnes sortent de l’eau. Tout en leur suggérant d’aller se baigner dans le bassin d’à côté (c’est à dire celui normalement réservé aux pédalos, où il est indiqué « BAIGNADE INTERDITE »).
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