Nartagnan ⏚ and 1 other boosted
Diapo 4: Un titre est écrit dans un encadré bleu avec des lettres blanches : « Les féminicides sont des crimes systémiques ». Le texte explique que les féminicides s’enracinent dans des structures durables de domination de genre et s’inscrivent dans un continuum de violences toléré par la société. Loin d’être des actes isolés, ils sont favorisés par des défaillances institutionnelles persistantes. À gauche du texte se trouve une personne qui tient une pancarte avec slogan : « Les vies des femmes comptent ».
Diapo 4: Un titre est écrit dans un encadré bleu avec des lettres blanches : « Les féminicides sont des crimes systémiques ». Le texte explique que les féminicides s’enracinent dans des structures durables de domination de genre et s’inscrivent dans un continuum de violences toléré par la société. Loin d’être des actes isolés, ils sont favorisés par des défaillances institutionnelles persistantes. À gauche du texte se trouve une personne qui tient une pancarte avec slogan : « Les vies des femmes comptent ».
Diapo 3: En 2024, mille deux cent quatre-vingt-trois femmes ont été victimes de féminicides ou de tentatives de féminicides par leur conjoint ou ex-conjoint, dont neuf cent six par suicide forcé ou tentative de suicide forcé. Cela représente plus de trois femmes victimes par jour. Près de la moitié des victimes avaient signalé des violences. Ces chiffres ont été comptabilisés uniquement dans la sphère conjugale, selon le rapport de la MIPROF. À droite, une illustration représente une personne manifestant avec une pancarte qui indique une victime toutes les 7h.
Diapo 3: En 2024, mille deux cent quatre-vingt-trois femmes ont été victimes de féminicides ou de tentatives de féminicides par leur conjoint ou ex-conjoint, dont neuf cent six par suicide forcé ou tentative de suicide forcé. Cela représente plus de trois femmes victimes par jour. Près de la moitié des victimes avaient signalé des violences. Ces chiffres ont été comptabilisés uniquement dans la sphère conjugale, selon le rapport de la MIPROF. À droite, une illustration représente une personne manifestant avec une pancarte qui indique une victime toutes les 7h.
Diapo 2: Sur les six diapositives suivantes, en haut, il est écrit : « RÉSOLUTION POUR LA CRÉATION D’UNE COMMISSION D’ENQUÊTE PARLEMENTAIRE SUR LES FÉMINICIDES ». En dessous, il est indiqué que cent cinquante-huit féminicides ont été recensés depuis le 1er janvier 2025, soit déjà 17 victimes de plus qu’en 2024. En 2025, il y a également eu cent quarante-trois tentatives de féminicides et soixante-quinze orphelins de mère. Un tiers des féminicides sont commis en dehors de la sphère conjugale. Le décompte a été réalisé par l’Inter-Organisation Féminicides (IOF), dont fait partie #NousToutes. En illustration à droite une femme qui tient une pancarte avec le slogan "pas une de plus".
Diapo 2: Sur les six diapositives suivantes, en haut, il est écrit : « RÉSOLUTION POUR LA CRÉATION D’UNE COMMISSION D’ENQUÊTE PARLEMENTAIRE SUR LES FÉMINICIDES ». En dessous, il est indiqué que cent cinquante-huit féminicides ont été recensés depuis le 1er janvier 2025, soit déjà 17 victimes de plus qu’en 2024. En 2025, il y a également eu cent quarante-trois tentatives de féminicides et soixante-quinze orphelins de mère. Un tiers des féminicides sont commis en dehors de la sphère conjugale. Le décompte a été réalisé par l’Inter-Organisation Féminicides (IOF), dont fait partie #NousToutes. En illustration à droite une femme qui tient une pancarte avec le slogan "pas une de plus".
Diapo 1 :Toutes les pages ont un fond quadrillé avec des traits violets ainsi que le logo de Nous Toutes. Sur la première diapositive, le titre est écrit en lettres violettes et roses : « Soutien à la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les féminicides ». À côté du titre, il y a une illustration d’un poing levé avec des ongles vernis violets. En bas de la page, à côté du logo de Nous Toutes, se trouve un symbole représentant un index invitant à tourner la page.
Diapo 1 :Toutes les pages ont un fond quadrillé avec des traits violets ainsi que le logo de Nous Toutes. Sur la première diapositive, le titre est écrit en lettres violettes et roses : « Soutien à la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les féminicides ». À côté du titre, il y a une illustration d’un poing levé avec des ongles vernis violets. En bas de la page, à côté du logo de Nous Toutes, se trouve un symbole représentant un index invitant à tourner la page.
Diapo 4: Un titre est écrit dans un encadré bleu avec des lettres blanches : « Les féminicides sont des crimes systémiques ». Le texte explique que les féminicides s’enracinent dans des structures durables de domination de genre et s’inscrivent dans un continuum de violences toléré par la société. Loin d’être des actes isolés, ils sont favorisés par des défaillances institutionnelles persistantes. À gauche du texte se trouve une personne qui tient une pancarte avec slogan : « Les vies des femmes comptent ».
Diapo 4: Un titre est écrit dans un encadré bleu avec des lettres blanches : « Les féminicides sont des crimes systémiques ». Le texte explique que les féminicides s’enracinent dans des structures durables de domination de genre et s’inscrivent dans un continuum de violences toléré par la société. Loin d’être des actes isolés, ils sont favorisés par des défaillances institutionnelles persistantes. À gauche du texte se trouve une personne qui tient une pancarte avec slogan : « Les vies des femmes comptent ».
Diapo 3: En 2024, mille deux cent quatre-vingt-trois femmes ont été victimes de féminicides ou de tentatives de féminicides par leur conjoint ou ex-conjoint, dont neuf cent six par suicide forcé ou tentative de suicide forcé. Cela représente plus de trois femmes victimes par jour. Près de la moitié des victimes avaient signalé des violences. Ces chiffres ont été comptabilisés uniquement dans la sphère conjugale, selon le rapport de la MIPROF. À droite, une illustration représente une personne manifestant avec une pancarte qui indique une victime toutes les 7h.
Diapo 3: En 2024, mille deux cent quatre-vingt-trois femmes ont été victimes de féminicides ou de tentatives de féminicides par leur conjoint ou ex-conjoint, dont neuf cent six par suicide forcé ou tentative de suicide forcé. Cela représente plus de trois femmes victimes par jour. Près de la moitié des victimes avaient signalé des violences. Ces chiffres ont été comptabilisés uniquement dans la sphère conjugale, selon le rapport de la MIPROF. À droite, une illustration représente une personne manifestant avec une pancarte qui indique une victime toutes les 7h.
Diapo 2: Sur les six diapositives suivantes, en haut, il est écrit : « RÉSOLUTION POUR LA CRÉATION D’UNE COMMISSION D’ENQUÊTE PARLEMENTAIRE SUR LES FÉMINICIDES ». En dessous, il est indiqué que cent cinquante-huit féminicides ont été recensés depuis le 1er janvier 2025, soit déjà 17 victimes de plus qu’en 2024. En 2025, il y a également eu cent quarante-trois tentatives de féminicides et soixante-quinze orphelins de mère. Un tiers des féminicides sont commis en dehors de la sphère conjugale. Le décompte a été réalisé par l’Inter-Organisation Féminicides (IOF), dont fait partie #NousToutes. En illustration à droite une femme qui tient une pancarte avec le slogan "pas une de plus".
Diapo 2: Sur les six diapositives suivantes, en haut, il est écrit : « RÉSOLUTION POUR LA CRÉATION D’UNE COMMISSION D’ENQUÊTE PARLEMENTAIRE SUR LES FÉMINICIDES ». En dessous, il est indiqué que cent cinquante-huit féminicides ont été recensés depuis le 1er janvier 2025, soit déjà 17 victimes de plus qu’en 2024. En 2025, il y a également eu cent quarante-trois tentatives de féminicides et soixante-quinze orphelins de mère. Un tiers des féminicides sont commis en dehors de la sphère conjugale. Le décompte a été réalisé par l’Inter-Organisation Féminicides (IOF), dont fait partie #NousToutes. En illustration à droite une femme qui tient une pancarte avec le slogan "pas une de plus".
Diapo 1 :Toutes les pages ont un fond quadrillé avec des traits violets ainsi que le logo de Nous Toutes. Sur la première diapositive, le titre est écrit en lettres violettes et roses : « Soutien à la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les féminicides ». À côté du titre, il y a une illustration d’un poing levé avec des ongles vernis violets. En bas de la page, à côté du logo de Nous Toutes, se trouve un symbole représentant un index invitant à tourner la page.
Diapo 1 :Toutes les pages ont un fond quadrillé avec des traits violets ainsi que le logo de Nous Toutes. Sur la première diapositive, le titre est écrit en lettres violettes et roses : « Soutien à la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les féminicides ». À côté du titre, il y a une illustration d’un poing levé avec des ongles vernis violets. En bas de la page, à côté du logo de Nous Toutes, se trouve un symbole représentant un index invitant à tourner la page.
Natouille 🍷 🥃 🍾 and 1 other boosted
Affiche de mobilisation féministe sur fond violet. Le texte "22 novembre 2025 contre les violences sexistes, sexuelles et de genre" est en haut. Un encart rose indique "NOUS SOUTENIR". Le corps du texte explique : "Tu veux nous aider à organiser les manifs mais financièrement c'est difficile ? Il y a d'autres façons de le faire !" Une liste à puces rose montre des flèches à côté de : "envoyer la cagnotte à tes proches, partager nos posts sur tes réseaux, participer à nos actions de mobilisation". En bas, deux femmes souriantes, dont une femme à la peau claire et une femme noire, lèvent le poing en signe de solidarité. Le logo de l'association "nous toutes .org" est dans le coin inférieur gauche.
Affiche de mobilisation féministe sur fond violet. Le texte "22 novembre 2025 contre les violences sexistes, sexuelles et de genre" est en haut. Un encart rose indique "NOUS SOUTENIR". Le corps du texte explique : "Tu veux nous aider à organiser les manifs mais financièrement c'est difficile ? Il y a d'autres façons de le faire !" Une liste à puces rose montre des flèches à côté de : "envoyer la cagnotte à tes proches, partager nos posts sur tes réseaux, participer à nos actions de mobilisation". En bas, deux femmes souriantes, dont une femme à la peau claire et une femme noire, lèvent le poing en signe de solidarité. Le logo de l'association "nous toutes .org" est dans le coin inférieur gauche.
Affiche de collecte de fonds sur fond violet et jaune pâle. Le texte "22 novembre 2025 contre les violences sexistes, sexuelles et de genre" est en haut. Un encart rose indique "DONNER POUR une MANIF LOCALE". Deux encarts violets mettent en évidence les montants et leurs objectifs :
​"50 dons de 2 € permettent d'acheter des fumigènes pour porter haut et fort les couleurs du féminisme."
​"10 dons de 80 € et on peut louer un véhicule adapté aux personnes à mobilité réduite pour participer à la manifestation."
En bas à droite, une femme est assise dans un fauteuil roulant, le poing levé, tenant une pancarte sur laquelle on peut lire "Nous sommes les filles des sorcières que vous n'avez pas brûlées". Le logo "nous toutes .org" est en bas à gauche.
Affiche de collecte de fonds sur fond violet et jaune pâle. Le texte "22 novembre 2025 contre les violences sexistes, sexuelles et de genre" est en haut. Un encart rose indique "DONNER POUR une MANIF LOCALE". Deux encarts violets mettent en évidence les montants et leurs objectifs : ​"50 dons de 2 € permettent d'acheter des fumigènes pour porter haut et fort les couleurs du féminisme." ​"10 dons de 80 € et on peut louer un véhicule adapté aux personnes à mobilité réduite pour participer à la manifestation." En bas à droite, une femme est assise dans un fauteuil roulant, le poing levé, tenant une pancarte sur laquelle on peut lire "Nous sommes les filles des sorcières que vous n'avez pas brûlées". Le logo "nous toutes .org" est en bas à gauche.
Affiche de mobilisation féministe sur fond violet. Le texte "22 novembre 2025 contre les violences sexistes, sexuelles et de genre" est en haut. Un encart rose indique "NOUS SOUTENIR". Le corps du texte explique : "Tu veux nous aider à organiser les manifs mais financièrement c'est difficile ? Il y a d'autres façons de le faire !" Une liste à puces rose montre des flèches à côté de : "envoyer la cagnotte à tes proches, partager nos posts sur tes réseaux, participer à nos actions de mobilisation". En bas, deux femmes souriantes, dont une femme à la peau claire et une femme noire, lèvent le poing en signe de solidarité. Le logo de l'association "nous toutes .org" est dans le coin inférieur gauche.
Affiche de mobilisation féministe sur fond violet. Le texte "22 novembre 2025 contre les violences sexistes, sexuelles et de genre" est en haut. Un encart rose indique "NOUS SOUTENIR". Le corps du texte explique : "Tu veux nous aider à organiser les manifs mais financièrement c'est difficile ? Il y a d'autres façons de le faire !" Une liste à puces rose montre des flèches à côté de : "envoyer la cagnotte à tes proches, partager nos posts sur tes réseaux, participer à nos actions de mobilisation". En bas, deux femmes souriantes, dont une femme à la peau claire et une femme noire, lèvent le poing en signe de solidarité. Le logo de l'association "nous toutes .org" est dans le coin inférieur gauche.
Affiche de collecte de fonds sur fond violet et jaune pâle. Le texte "22 novembre 2025 contre les violences sexistes, sexuelles et de genre" est en haut. Un encart rose indique "DONNER POUR une MANIF LOCALE". Deux encarts violets mettent en évidence les montants et leurs objectifs :
​"50 dons de 2 € permettent d'acheter des fumigènes pour porter haut et fort les couleurs du féminisme."
​"10 dons de 80 € et on peut louer un véhicule adapté aux personnes à mobilité réduite pour participer à la manifestation."
En bas à droite, une femme est assise dans un fauteuil roulant, le poing levé, tenant une pancarte sur laquelle on peut lire "Nous sommes les filles des sorcières que vous n'avez pas brûlées". Le logo "nous toutes .org" est en bas à gauche.
Affiche de collecte de fonds sur fond violet et jaune pâle. Le texte "22 novembre 2025 contre les violences sexistes, sexuelles et de genre" est en haut. Un encart rose indique "DONNER POUR une MANIF LOCALE". Deux encarts violets mettent en évidence les montants et leurs objectifs : ​"50 dons de 2 € permettent d'acheter des fumigènes pour porter haut et fort les couleurs du féminisme." ​"10 dons de 80 € et on peut louer un véhicule adapté aux personnes à mobilité réduite pour participer à la manifestation." En bas à droite, une femme est assise dans un fauteuil roulant, le poing levé, tenant une pancarte sur laquelle on peut lire "Nous sommes les filles des sorcières que vous n'avez pas brûlées". Le logo "nous toutes .org" est en bas à gauche.
Un visuel sur fond violet avec Fugu en arrière-plan. Le texte explique qu'en réponse, Fugu a publié une vidéo où il qualifie Helydia de "démon" et reconnaît les faits de violences en les mimant, mais refuse de s'excuser. Il nie sa violence en disant que la relation était toxique.
Un visuel sur fond violet avec Fugu en arrière-plan. Le texte explique qu'en réponse, Fugu a publié une vidéo où il qualifie Helydia de "démon" et reconnaît les faits de violences en les mimant, mais refuse de s'excuser. Il nie sa violence en disant que la relation était toxique.
Un visuel sur fond violet avec Helydia en arrière-plan. Le texte indique qu'Helydia a annoncé publiquement avoir porté plainte contre Fugu pour violences conjugales, et que le communiqué de Helydia est sobre alors que Fugu avait déjà menacé de publier des informations.
Un visuel sur fond violet avec Helydia en arrière-plan. Le texte indique qu'Helydia a annoncé publiquement avoir porté plainte contre Fugu pour violences conjugales, et que le communiqué de Helydia est sobre alors que Fugu avait déjà menacé de publier des informations.
Un visuel avec deux personnes (Helydia et Fugu, 2 streamers) en arrière-plan sur fond violet. Le titre en gros caractères est "L'AFFAIRE Helydia / Fugu". En dessous, "Quand l'agresseur se fait passer pour la victime". Les logos "Solidarité Femmes 39 19" et "nous toutes .org" sont en bas.
Un visuel avec deux personnes (Helydia et Fugu, 2 streamers) en arrière-plan sur fond violet. Le titre en gros caractères est "L'AFFAIRE Helydia / Fugu". En dessous, "Quand l'agresseur se fait passer pour la victime". Les logos "Solidarité Femmes 39 19" et "nous toutes .org" sont en bas.
Un visuel sur fond violet avec Fugu en arrière-plan. Le texte explique qu'en réponse, Fugu a publié une vidéo où il qualifie Helydia de "démon" et reconnaît les faits de violences en les mimant, mais refuse de s'excuser. Il nie sa violence en disant que la relation était toxique.
Un visuel sur fond violet avec Fugu en arrière-plan. Le texte explique qu'en réponse, Fugu a publié une vidéo où il qualifie Helydia de "démon" et reconnaît les faits de violences en les mimant, mais refuse de s'excuser. Il nie sa violence en disant que la relation était toxique.
Un visuel sur fond violet avec Helydia en arrière-plan. Le texte indique qu'Helydia a annoncé publiquement avoir porté plainte contre Fugu pour violences conjugales, et que le communiqué de Helydia est sobre alors que Fugu avait déjà menacé de publier des informations.
Un visuel sur fond violet avec Helydia en arrière-plan. Le texte indique qu'Helydia a annoncé publiquement avoir porté plainte contre Fugu pour violences conjugales, et que le communiqué de Helydia est sobre alors que Fugu avait déjà menacé de publier des informations.
Un visuel avec deux personnes (Helydia et Fugu, 2 streamers) en arrière-plan sur fond violet. Le titre en gros caractères est "L'AFFAIRE Helydia / Fugu". En dessous, "Quand l'agresseur se fait passer pour la victime". Les logos "Solidarité Femmes 39 19" et "nous toutes .org" sont en bas.
Un visuel avec deux personnes (Helydia et Fugu, 2 streamers) en arrière-plan sur fond violet. Le titre en gros caractères est "L'AFFAIRE Helydia / Fugu". En dessous, "Quand l'agresseur se fait passer pour la victime". Les logos "Solidarité Femmes 39 19" et "nous toutes .org" sont en bas.