Bonne nouvelle pour les militant·es : on peut légitimement refuser de se faire prélever son ADN pour des faits non graves !
La cour d'appel de Grenoble confirme donc que l’infraction de refus de se soumettre au prélèvement ADN d’une militante définitivement condamnée succombe face à la nécessité de protéger son droit à la vie privée