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LesEcologistes Metro Grenoble
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🌻 Les Ecologistes Malakoff
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Les pages 3 et 4 du tract "Malakoff autrement !" développant les axes programmatiques : Ville de la mobilité active et apaisée Ville protectrice : être en sécurité, redonner la confiance et la solidarité Vivre ensemble : pour une ville inclusive et émancipatrice
Les pages 3 et 4 du tract "Malakoff autrement !" développant les axes programmatiques : Ville de la mobilité active et apaisée Ville protectrice : être en sécurité, redonner la confiance et la solidarité Vivre ensemble : pour une ville inclusive et émancipatrice
Les pages 3 et 4 du tract "Malakoff autrement !" développant les axes programmatiques : Ville de la mobilité active et apaisée Ville protectrice : être en sécurité, redonner la confiance et la solidarité Vivre ensemble : pour une ville inclusive et émancipatrice
Bénédicte Ibos, conseillère municipale citoyenne à Malakoff et Catherine Naviaux, membre des Ecologistes et ancienne conseillère municipale à Vanves lors la précédente mandature, avant de siinstaller à Malakoff, povent tout sourire, sous leurs parapluies de toutes les couleurs.
Bénédicte Ibos, conseillère municipale citoyenne à Malakoff et Catherine Naviaux, membre des Ecologistes et ancienne conseillère municipale à Vanves lors la précédente mandature, avant de siinstaller à Malakoff, povent tout sourire, sous leurs parapluies de toutes les couleurs.
Bénédicte Ibos, conseillère municipale citoyenne à Malakoff et Catherine Naviaux, membre des Ecologistes et ancienne conseillère municipale à Vanves lors la précédente mandature, avant de siinstaller à Malakoff, povent tout sourire, sous leurs parapluies de toutes les couleurs.
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Bénédicte Ibos, conseillère municipale citoyenne à Malakoff et Catherine Naviaux, membre des Ecologistes et ancienne conseillère municipale à Vanves lors la précédente mandature, avant de siinstaller à Malakoff, povent tout sourire, sous leurs parapluies de toutes les couleurs.
Bénédicte Ibos, conseillère municipale citoyenne à Malakoff et Catherine Naviaux, membre des Ecologistes et ancienne conseillère municipale à Vanves lors la précédente mandature, avant de siinstaller à Malakoff, povent tout sourire, sous leurs parapluies de toutes les couleurs.
Bénédicte Ibos, conseillère municipale citoyenne à Malakoff et Catherine Naviaux, membre des Ecologistes et ancienne conseillère municipale à Vanves lors la précédente mandature, avant de siinstaller à Malakoff, povent tout sourire, sous leurs parapluies de toutes les couleurs.
Gaël M
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🌻 Les Ecologistes Malakoff
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Un nouveau féminicide a été perpétré hier soir à Malakoff. Un homme a tué une jeune femme, sans doute son ex-conjointe, dans la soirée du 13 novembre, avant d'être arrêté par la police alors qu'il menaçait de se suicider. Les circonstances exactes du drame ne sont pas encore connues. Avant tout, notre collectif, élu·es locaux, adhérent·es et sympathisant·es, tient à exprimer sa solidarité et son soutien à la famille et aux proches de la victime. A quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre, ce meurtre vient illustrer à nouveau l'impérative nécessité de changer la société, rongée par le sexisme ordinaire et ses insupportables conséquences sur les vies des femmes en France. En 2025, dans notre pays, déjà 140 féminicides ont été comptabilisés, dont une majorité perpétrée par un homme issu du cercle familial et intime de la victime (chiffres du collectif "Nous toutes"). Plus que jamais, les pouvoirs publics ont un rôle primordial à jouer pour faire cesser ces violences inadmissibles envers les femmes. Cela passe par une meilleure prise en compte des alertes formulées par les femmes elles-mêmes, par une écoute attentive des situations à risque, par des mesures coercitives plus efficaces pour mettre à distance les ex-compagnons, ainsi que par un changement radical dans l'éducation des garçons et dans les représentations sexistes.
Un nouveau féminicide a été perpétré hier soir à Malakoff. Un homme a tué une jeune femme, sans doute son ex-conjointe, dans la soirée du 13 novembre, avant d'être arrêté par la police alors qu'il menaçait de se suicider. Les circonstances exactes du drame ne sont pas encore connues. Avant tout, notre collectif, élu·es locaux, adhérent·es et sympathisant·es, tient à exprimer sa solidarité et son soutien à la famille et aux proches de la victime. A quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre, ce meurtre vient illustrer à nouveau l'impérative nécessité de changer la société, rongée par le sexisme ordinaire et ses insupportables conséquences sur les vies des femmes en France. En 2025, dans notre pays, déjà 140 féminicides ont été comptabilisés, dont une majorité perpétrée par un homme issu du cercle familial et intime de la victime (chiffres du collectif "Nous toutes"). Plus que jamais, les pouvoirs publics ont un rôle primordial à jouer pour faire cesser ces violences inadmissibles envers les femmes. Cela passe par une meilleure prise en compte des alertes formulées par les femmes elles-mêmes, par une écoute attentive des situations à risque, par des mesures coercitives plus efficaces pour mettre à distance les ex-compagnons, ainsi que par un changement radical dans l'éducation des garçons et dans les représentations sexistes.
Un nouveau féminicide a été perpétré hier soir à Malakoff. Un homme a tué une jeune femme, sans doute son ex-conjointe, dans la soirée du 13 novembre, avant d'être arrêté par la police alors qu'il menaçait de se suicider. Les circonstances exactes du drame ne sont pas encore connues. Avant tout, notre collectif, élu·es locaux, adhérent·es et sympathisant·es, tient à exprimer sa solidarité et son soutien à la famille et aux proches de la victime. A quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre, ce meurtre vient illustrer à nouveau l'impérative nécessité de changer la société, rongée par le sexisme ordinaire et ses insupportables conséquences sur les vies des femmes en France. En 2025, dans notre pays, déjà 140 féminicides ont été comptabilisés, dont une majorité perpétrée par un homme issu du cercle familial et intime de la victime (chiffres du collectif "Nous toutes"). Plus que jamais, les pouvoirs publics ont un rôle primordial à jouer pour faire cesser ces violences inadmissibles envers les femmes. Cela passe par une meilleure prise en compte des alertes formulées par les femmes elles-mêmes, par une écoute attentive des situations à risque, par des mesures coercitives plus efficaces pour mettre à distance les ex-compagnons, ainsi que par un changement radical dans l'éducation des garçons et dans les représentations sexistes.
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Un nouveau féminicide a été perpétré hier soir à Malakoff. Un homme a tué une jeune femme, sans doute son ex-conjointe, dans la soirée du 13 novembre, avant d'être arrêté par la police alors qu'il menaçait de se suicider. Les circonstances exactes du drame ne sont pas encore connues. Avant tout, notre collectif, élu·es locaux, adhérent·es et sympathisant·es, tient à exprimer sa solidarité et son soutien à la famille et aux proches de la victime. A quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre, ce meurtre vient illustrer à nouveau l'impérative nécessité de changer la société, rongée par le sexisme ordinaire et ses insupportables conséquences sur les vies des femmes en France. En 2025, dans notre pays, déjà 140 féminicides ont été comptabilisés, dont une majorité perpétrée par un homme issu du cercle familial et intime de la victime (chiffres du collectif "Nous toutes"). Plus que jamais, les pouvoirs publics ont un rôle primordial à jouer pour faire cesser ces violences inadmissibles envers les femmes. Cela passe par une meilleure prise en compte des alertes formulées par les femmes elles-mêmes, par une écoute attentive des situations à risque, par des mesures coercitives plus efficaces pour mettre à distance les ex-compagnons, ainsi que par un changement radical dans l'éducation des garçons et dans les représentations sexistes.
Un nouveau féminicide a été perpétré hier soir à Malakoff. Un homme a tué une jeune femme, sans doute son ex-conjointe, dans la soirée du 13 novembre, avant d'être arrêté par la police alors qu'il menaçait de se suicider. Les circonstances exactes du drame ne sont pas encore connues. Avant tout, notre collectif, élu·es locaux, adhérent·es et sympathisant·es, tient à exprimer sa solidarité et son soutien à la famille et aux proches de la victime. A quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre, ce meurtre vient illustrer à nouveau l'impérative nécessité de changer la société, rongée par le sexisme ordinaire et ses insupportables conséquences sur les vies des femmes en France. En 2025, dans notre pays, déjà 140 féminicides ont été comptabilisés, dont une majorité perpétrée par un homme issu du cercle familial et intime de la victime (chiffres du collectif "Nous toutes"). Plus que jamais, les pouvoirs publics ont un rôle primordial à jouer pour faire cesser ces violences inadmissibles envers les femmes. Cela passe par une meilleure prise en compte des alertes formulées par les femmes elles-mêmes, par une écoute attentive des situations à risque, par des mesures coercitives plus efficaces pour mettre à distance les ex-compagnons, ainsi que par un changement radical dans l'éducation des garçons et dans les représentations sexistes.
Un nouveau féminicide a été perpétré hier soir à Malakoff. Un homme a tué une jeune femme, sans doute son ex-conjointe, dans la soirée du 13 novembre, avant d'être arrêté par la police alors qu'il menaçait de se suicider. Les circonstances exactes du drame ne sont pas encore connues. Avant tout, notre collectif, élu·es locaux, adhérent·es et sympathisant·es, tient à exprimer sa solidarité et son soutien à la famille et aux proches de la victime. A quelques jours de la journée internationale contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre, ce meurtre vient illustrer à nouveau l'impérative nécessité de changer la société, rongée par le sexisme ordinaire et ses insupportables conséquences sur les vies des femmes en France. En 2025, dans notre pays, déjà 140 féminicides ont été comptabilisés, dont une majorité perpétrée par un homme issu du cercle familial et intime de la victime (chiffres du collectif "Nous toutes"). Plus que jamais, les pouvoirs publics ont un rôle primordial à jouer pour faire cesser ces violences inadmissibles envers les femmes. Cela passe par une meilleure prise en compte des alertes formulées par les femmes elles-mêmes, par une écoute attentive des situations à risque, par des mesures coercitives plus efficaces pour mettre à distance les ex-compagnons, ainsi que par un changement radical dans l'éducation des garçons et dans les représentations sexistes.
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Photo d'ambiance prise de haut, montrant (en bas de la photo) David Cormand tenant un micro et discourant à côté d'un écran, devant un parterre d'une petite trentaine de personnes assises sur des canapés et des chaises, autour d'une table bases en osier.
Photo d'ambiance prise de haut, montrant (en bas de la photo) David Cormand tenant un micro et discourant à côté d'un écran, devant un parterre d'une petite trentaine de personnes assises sur des canapés et des chaises, autour d'une table bases en osier.
Photo d'ambiance prise de haut, montrant (en bas de la photo) David Cormand tenant un micro et discourant à côté d'un écran, devant un parterre d'une petite trentaine de personnes assises sur des canapés et des chaises, autour d'une table bases en osier.
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Photo d'ambiance prise de haut, montrant (en bas de la photo) David Cormand tenant un micro et discourant à côté d'un écran, devant un parterre d'une petite trentaine de personnes assises sur des canapés et des chaises, autour d'une table bases en osier.
Photo d'ambiance prise de haut, montrant (en bas de la photo) David Cormand tenant un micro et discourant à côté d'un écran, devant un parterre d'une petite trentaine de personnes assises sur des canapés et des chaises, autour d'une table bases en osier.
Mediapart
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