extrait 

Au final, la différence entre, d’un côté le coût brut des baisses et les recettes générées par les mesures prises (nos « retours d’impôt ») et, de l’autre côté, les résultats en termes d’emplois permet de dégager un solde net, un coût budgétaire net. Nous l’évaluons à 450 milliards d’euros si l’on comptabilise les mesures prises depuis 2014. Cette estimation est confortée par celle de la Cour des comptes qui estime que les baisses d’impôts qui ont été progressivement mises en œuvre ont provoqué un manque à gagner de 62 milliards d’euros sur la seule année 2024 (soit l’équivalent du budget de l’Éducation nationale hors enseignement supérieur). Si ces mesures n’avaient pas été mises en œuvre, nous avons calculé que la dette publique s’élèverait à 93,8 % du PIB fin 2023 au lieu de près de 110 %.
extrait Au final, la différence entre, d’un côté le coût brut des baisses et les recettes générées par les mesures prises (nos « retours d’impôt ») et, de l’autre côté, les résultats en termes d’emplois permet de dégager un solde net, un coût budgétaire net. Nous l’évaluons à 450 milliards d’euros si l’on comptabilise les mesures prises depuis 2014. Cette estimation est confortée par celle de la Cour des comptes qui estime que les baisses d’impôts qui ont été progressivement mises en œuvre ont provoqué un manque à gagner de 62 milliards d’euros sur la seule année 2024 (soit l’équivalent du budget de l’Éducation nationale hors enseignement supérieur). Si ces mesures n’avaient pas été mises en œuvre, nous avons calculé que la dette publique s’élèverait à 93,8 % du PIB fin 2023 au lieu de près de 110 %.
Baisses d’impôt : un gâchis de 450 milliards d’euros pour la France

En dix années, les politiques de baisse d’impôts ont fait perdre 450 milliards d’euros à la collectivité. Un immense gaspillage qui a contribué à la hausse de la dette publique. Le point de vue de Vincent Gath-Drezet, expert en fiscalité de l’association Attac.
Baisses d’impôt : un gâchis de 450 milliards d’euros pour la France En dix années, les politiques de baisse d’impôts ont fait perdre 450 milliards d’euros à la collectivité. Un immense gaspillage qui a contribué à la hausse de la dette publique. Le point de vue de Vincent Gath-Drezet, expert en fiscalité de l’association Attac.
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Au final, la différence entre, d’un côté le coût brut des baisses et les recettes générées par les mesures prises (nos « retours d’impôt ») et, de l’autre côté, les résultats en termes d’emplois permet de dégager un solde net, un coût budgétaire net. Nous l’évaluons à 450 milliards d’euros si l’on comptabilise les mesures prises depuis 2014. Cette estimation est confortée par celle de la Cour des comptes qui estime que les baisses d’impôts qui ont été progressivement mises en œuvre ont provoqué un manque à gagner de 62 milliards d’euros sur la seule année 2024 (soit l’équivalent du budget de l’Éducation nationale hors enseignement supérieur). Si ces mesures n’avaient pas été mises en œuvre, nous avons calculé que la dette publique s’élèverait à 93,8 % du PIB fin 2023 au lieu de près de 110 %.
extrait Au final, la différence entre, d’un côté le coût brut des baisses et les recettes générées par les mesures prises (nos « retours d’impôt ») et, de l’autre côté, les résultats en termes d’emplois permet de dégager un solde net, un coût budgétaire net. Nous l’évaluons à 450 milliards d’euros si l’on comptabilise les mesures prises depuis 2014. Cette estimation est confortée par celle de la Cour des comptes qui estime que les baisses d’impôts qui ont été progressivement mises en œuvre ont provoqué un manque à gagner de 62 milliards d’euros sur la seule année 2024 (soit l’équivalent du budget de l’Éducation nationale hors enseignement supérieur). Si ces mesures n’avaient pas été mises en œuvre, nous avons calculé que la dette publique s’élèverait à 93,8 % du PIB fin 2023 au lieu de près de 110 %.
Baisses d’impôt : un gâchis de 450 milliards d’euros pour la France

En dix années, les politiques de baisse d’impôts ont fait perdre 450 milliards d’euros à la collectivité. Un immense gaspillage qui a contribué à la hausse de la dette publique. Le point de vue de Vincent Gath-Drezet, expert en fiscalité de l’association Attac.
Baisses d’impôt : un gâchis de 450 milliards d’euros pour la France En dix années, les politiques de baisse d’impôts ont fait perdre 450 milliards d’euros à la collectivité. Un immense gaspillage qui a contribué à la hausse de la dette publique. Le point de vue de Vincent Gath-Drezet, expert en fiscalité de l’association Attac.
Roland
Roland boosted
vidéo extrait intervention Hadrien Clouet
sebsauvage
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Capture d'écran site de presse

Islande : boom économique grace a la semaine de 4 jours 

En Islande, de plus en plus d'entreprises testent la semaine de quatre jours. Cela n'a pas nui a I'économie, au contraire : le pays a connu une croissance de 5 % en 2023. C'est I'un des taux de croissance les plus élevés d’Europe. Une raison a cela : les travailleur-euses sont plus heureux-ses, en meilleure santé et plus productif-ves.

Depuis quelques années, I'slande est pionniére dans I'introduction et le test de différents modéles de réduction du temps de travail. Une nouvelle étude de I'« Autonomy Institute » britannique et de I'« Association for Sustainability and Democracy » islandaise (Alda) montre désormais que la réduction du temps de travail est rentable. 80 % des salarié-es ayant réduit leur temps de travail - en moyenne 35 heures par 'semaine — sont satisfait-es du nouveau modéle. Plus de 60 % indiquent que leur vie privée sest améliorée et queelles et ils se sentent plus reposé-es, mentalement et physiquement. L'économie est également en croissance et le taux de chémage de 3,4 % est nettement inférieur & la moyenne européenne. Rien qlen 2023, la croissance économique a été de 5 %, selon le Fonds monétaire international. C'est I'un des taux de croissance les plus élevés de I'UE. L'étude démontre également une augmentation de la productivité. Les auteurs de I'étude réfutent ‘ainsi une nouvelle fois les critiques des emploveurs.
Capture d'écran site de presse Islande : boom économique grace a la semaine de 4 jours En Islande, de plus en plus d'entreprises testent la semaine de quatre jours. Cela n'a pas nui a I'économie, au contraire : le pays a connu une croissance de 5 % en 2023. C'est I'un des taux de croissance les plus élevés d’Europe. Une raison a cela : les travailleur-euses sont plus heureux-ses, en meilleure santé et plus productif-ves. Depuis quelques années, I'slande est pionniére dans I'introduction et le test de différents modéles de réduction du temps de travail. Une nouvelle étude de I'« Autonomy Institute » britannique et de I'« Association for Sustainability and Democracy » islandaise (Alda) montre désormais que la réduction du temps de travail est rentable. 80 % des salarié-es ayant réduit leur temps de travail - en moyenne 35 heures par 'semaine — sont satisfait-es du nouveau modéle. Plus de 60 % indiquent que leur vie privée sest améliorée et queelles et ils se sentent plus reposé-es, mentalement et physiquement. L'économie est également en croissance et le taux de chémage de 3,4 % est nettement inférieur & la moyenne européenne. Rien qlen 2023, la croissance économique a été de 5 %, selon le Fonds monétaire international. C'est I'un des taux de croissance les plus élevés de I'UE. L'étude démontre également une augmentation de la productivité. Les auteurs de I'étude réfutent ‘ainsi une nouvelle fois les critiques des emploveurs.
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Islande : boom économique grace a la semaine de 4 jours 

En Islande, de plus en plus d'entreprises testent la semaine de quatre jours. Cela n'a pas nui a I'économie, au contraire : le pays a connu une croissance de 5 % en 2023. C'est I'un des taux de croissance les plus élevés d’Europe. Une raison a cela : les travailleur-euses sont plus heureux-ses, en meilleure santé et plus productif-ves.

Depuis quelques années, I'slande est pionniére dans I'introduction et le test de différents modéles de réduction du temps de travail. Une nouvelle étude de I'« Autonomy Institute » britannique et de I'« Association for Sustainability and Democracy » islandaise (Alda) montre désormais que la réduction du temps de travail est rentable. 80 % des salarié-es ayant réduit leur temps de travail - en moyenne 35 heures par 'semaine — sont satisfait-es du nouveau modéle. Plus de 60 % indiquent que leur vie privée sest améliorée et queelles et ils se sentent plus reposé-es, mentalement et physiquement. L'économie est également en croissance et le taux de chémage de 3,4 % est nettement inférieur & la moyenne européenne. Rien qlen 2023, la croissance économique a été de 5 %, selon le Fonds monétaire international. C'est I'un des taux de croissance les plus élevés de I'UE. L'étude démontre également une augmentation de la productivité. Les auteurs de I'étude réfutent ‘ainsi une nouvelle fois les critiques des emploveurs.
Capture d'écran site de presse Islande : boom économique grace a la semaine de 4 jours En Islande, de plus en plus d'entreprises testent la semaine de quatre jours. Cela n'a pas nui a I'économie, au contraire : le pays a connu une croissance de 5 % en 2023. C'est I'un des taux de croissance les plus élevés d’Europe. Une raison a cela : les travailleur-euses sont plus heureux-ses, en meilleure santé et plus productif-ves. Depuis quelques années, I'slande est pionniére dans I'introduction et le test de différents modéles de réduction du temps de travail. Une nouvelle étude de I'« Autonomy Institute » britannique et de I'« Association for Sustainability and Democracy » islandaise (Alda) montre désormais que la réduction du temps de travail est rentable. 80 % des salarié-es ayant réduit leur temps de travail - en moyenne 35 heures par 'semaine — sont satisfait-es du nouveau modéle. Plus de 60 % indiquent que leur vie privée sest améliorée et queelles et ils se sentent plus reposé-es, mentalement et physiquement. L'économie est également en croissance et le taux de chémage de 3,4 % est nettement inférieur & la moyenne européenne. Rien qlen 2023, la croissance économique a été de 5 %, selon le Fonds monétaire international. C'est I'un des taux de croissance les plus élevés de I'UE. L'étude démontre également une augmentation de la productivité. Les auteurs de I'étude réfutent ‘ainsi une nouvelle fois les critiques des emploveurs.
Éric D.
Éric D. boosted