Ce n'est pas la première fois que France Travail s'est fait cyberpoutrer digitalement, rappelons-le. Et c'est loin d'être la seule administration à l'avoir été. À ce stade, le seul moyen de ne pas encore voir ses données personnelles entre les mains de criminels est d'être en bonne santé, de ne jamais avoir été au chômage et de ne jamais avoir été en situation de précarité. Bref, c'est un privilège de classe. Il est temps de dire : ça suffit !