"Anti-Tech Resistance : pourquoi ce sulfureux mouvement d’écologie radicale né à Rennes se trouve sous surveillance" (payant)
l’organisme de l’État responsable de suivre les dérives sectaires, la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) confirme pourtant avoir reçu, en 2024, « quelques signalements et demandes d’informations » de proches du mouvement. « Les éléments récoltés justifient une vigilance sur le mouvement », prévient la Miviludes qui le qualifie même de « préoccupant ».
On n'a pas vraiment plus de détails.
Encore un article qui finit par un "non mais vous exagérez" malgré tout.