"Une étude publiée dans la revue Science Advances remet en cause l’idée que ces hominidés trônaient au sommet de la chaîne alimentaire : les taux d’azote lourd élevés retrouvés dans leurs os s’expliqueraient non par une consommation excessive de viande, mais par l’ingestion de larves de mouches issues de carcasses en décomposition."