En toute décontraction, Georges Louis Bouchez reprend un vocabulaire d'extrême-droite ("vermine") et sarkoziste ("nettoyer les rues", "racailles"). Pour rappel, ce mot "vermine" est un outil sémantique visant à retirer leur humanité à des personnes ou groupes de personnes. Ce fut une technique de prédilection des fascistes et nazis de tout temps...
Il faudra bientôt admettre que le MR de Bouchez est en train de se radicaliser...