François Collette
@frann@piaille.fr  ·  activity timestamp 6 months ago

Je mets ici un petit strip de #BD initialement adressé aux quelques personnes qui me suivaient sur #Facebook et #Instagram.

C’est vrai, quoi : le mouvement #HelloQuitteX semble avoir été très suivi, mais il s’agirait pas d’oublier les bonnes raisons de quitter aussi #Meta, à savoir la déclaration d’allégeance — particulièrement zélée — de #Zuckerberg à un #Trump en totale roue libre.

Pour moi, ça aura été la goutte d’eau qui fait déborder le vase, ou plutôt le baril qui fait déborder la citerne. Il faut dire que ce choix n’est guère coûteux pour moi — je ne donne de leçons à personne, il y a plein de gens pour qui ça peut représenter un vrai dilemme.

Le narrateur continue : « Nan mais sérieusemenc, on va de régression en régression ! On voudrait causer justice sociale, climat, et on se retrouve à… » Il s’interrompt pour se précipiter vers un Mark Zuckerberg cette fois représenté en enfant et brandissant un pot de chambre en plastique devant une petite fille qui joue aux voitures. « NON, Mark ! On ne frappe PAS la petite fille avec le pot à caca ! »
Le narrateur continue : « Nan mais sérieusemenc, on va de régression en régression ! On voudrait causer justice sociale, climat, et on se retrouve à… » Il s’interrompt pour se précipiter vers un Mark Zuckerberg cette fois représenté en enfant et brandissant un pot de chambre en plastique devant une petite fille qui joue aux voitures. « NON, Mark ! On ne frappe PAS la petite fille avec le pot à caca ! »
Le narrateur continue : « Nan mais sérieusemenc, on va de régression en régression ! On voudrait causer justice sociale, climat, et on se retrouve à… » Il s’interrompt pour se précipiter vers un Mark Zuckerberg cette fois représenté en enfant et brandissant un pot de chambre en plastique devant une petite fille qui joue aux voitures. « NON, Mark ! On ne frappe PAS la petite fille avec le pot à caca ! »
Le narrateur apparaît dépité et poursuit : « Sauf que nan. C’est un homme riche et mondialement influent qui est prêt à répéter — et traduire en actes — des imbécilités mortifères pour le bizness (et sous la menace). Donc on en est là, en 2025. À se battre contre des idées de génie comme, je cite, les « mérites vraiment positifs » d’une culture « célébrant un peu plus l’agressivité ».
Le narrateur apparaît dépité et poursuit : « Sauf que nan. C’est un homme riche et mondialement influent qui est prêt à répéter — et traduire en actes — des imbécilités mortifères pour le bizness (et sous la menace). Donc on en est là, en 2025. À se battre contre des idées de génie comme, je cite, les « mérites vraiment positifs » d’une culture « célébrant un peu plus l’agressivité ».
Le narrateur apparaît dépité et poursuit : « Sauf que nan. C’est un homme riche et mondialement influent qui est prêt à répéter — et traduire en actes — des imbécilités mortifères pour le bizness (et sous la menace). Donc on en est là, en 2025. À se battre contre des idées de génie comme, je cite, les « mérites vraiment positifs » d’une culture « célébrant un peu plus l’agressivité ».
Dessin représentant Mark Zuckerberg, hypnotisé, devant un écran de PC. Canettes de boisson énergisante et paquet de chips de part et d’autre du clavier. Il porte un t-shirt noir orné du logo d’un jeu vidéo guerrier et une chaîne en or, et s’exclame : « Mais ouais ! #ÉnergieMasculine ! #Agressivité ! » Commentaire du narrateur : « Zuckerberg m’évoque un ado qui, entre deux parties de jeu de guerre, se ferait happer par un influenceur masculiniste sur Youteub. »
Dessin représentant Mark Zuckerberg, hypnotisé, devant un écran de PC. Canettes de boisson énergisante et paquet de chips de part et d’autre du clavier. Il porte un t-shirt noir orné du logo d’un jeu vidéo guerrier et une chaîne en or, et s’exclame : « Mais ouais ! #ÉnergieMasculine ! #Agressivité ! » Commentaire du narrateur : « Zuckerberg m’évoque un ado qui, entre deux parties de jeu de guerre, se ferait happer par un influenceur masculiniste sur Youteub. »
Dessin représentant Mark Zuckerberg, hypnotisé, devant un écran de PC. Canettes de boisson énergisante et paquet de chips de part et d’autre du clavier. Il porte un t-shirt noir orné du logo d’un jeu vidéo guerrier et une chaîne en or, et s’exclame : « Mais ouais ! #ÉnergieMasculine ! #Agressivité ! » Commentaire du narrateur : « Zuckerberg m’évoque un ado qui, entre deux parties de jeu de guerre, se ferait happer par un influenceur masculiniste sur Youteub. »