Il y a quasiment dix ans, j'amorçais une recherche sur le hors champ pour mon mémoire de fin d'études.
J'utilise la photographie comme une projection de mes peurs, sur un monde bien concret.
En résulte, des paysages urbains souvent vides d'âmes, ou derrière chaque fenêtre ou porte, tout peut s'imaginer.
Étudiant à Nancy, j'ai alors vagabondé dans la ville et sa banlieue, à la recherches d'images que l'appareil photographique pourra capturer, afin de résoudre mon équation.
J'ai imaginé, que suite à un accident nucléaire, la population était confiné.
Évidemment, chacun pourra imaginer, ce qu'il voudra. C'est l'une des forces du hors champ.