Comme toujours, le fascisme est le dernier refuge du capitalisme : ce n'est que par un concours de circonstances heureux que nos sociétés occidentales ont pu s'organiser de manière (plus ou moins) démocratique jusqu'à maintenant. Les fameuses « démocraties libérales » n'ont tenu que parce que l'amélioration progressive du confort matériel par la croissance économique a permis l'assentiment passif des classes prolétaires – encore une fois, au sens marxiste du terme (les classes qui vivent de leur travail, et non de leur capital).

Mais dès lors que leur qualité de vie se décorrèle de la croissance, les classes prolétaires plongent et cessent donc de consentir à l'ordre capitaliste, et c'est alors que les « démocraties » libérales montrent l'étendu de ce qu'elles ont de démocratique. Dans « démocratie libérale », le mot « démocratie » est accessoire, et la fascisation du bloc bourgeois en vue de la défense autoritaire envers et contre tout de l'ordre capitaliste est déjà bien entamée. C'est bien connu : ce n'est qu'en tirant sur la laisse qu'on se rend compte de son existence.

Les choses sont donc maintenant posées : même si nous gagnons les élections, même si nous utilisons gentiment tous les canaux d'expression officiels (coucou la pétition contre la loi Duplomb9), le bloc bourgeois ne cédera pas un pouce de pouvoir. D'où le déni de démocratie depuis un an, d'où les gouvernements invariablement de droite, avec LR qui semble faire la pluie et le beau temps malgré (...)
Comme toujours, le fascisme est le dernier refuge du capitalisme : ce n'est que par un concours de circonstances heureux que nos sociétés occidentales ont pu s'organiser de manière (plus ou moins) démocratique jusqu'à maintenant. Les fameuses « démocraties libérales » n'ont tenu que parce que l'amélioration progressive du confort matériel par la croissance économique a permis l'assentiment passif des classes prolétaires – encore une fois, au sens marxiste du terme (les classes qui vivent de leur travail, et non de leur capital). Mais dès lors que leur qualité de vie se décorrèle de la croissance, les classes prolétaires plongent et cessent donc de consentir à l'ordre capitaliste, et c'est alors que les « démocraties » libérales montrent l'étendu de ce qu'elles ont de démocratique. Dans « démocratie libérale », le mot « démocratie » est accessoire, et la fascisation du bloc bourgeois en vue de la défense autoritaire envers et contre tout de l'ordre capitaliste est déjà bien entamée. C'est bien connu : ce n'est qu'en tirant sur la laisse qu'on se rend compte de son existence. Les choses sont donc maintenant posées : même si nous gagnons les élections, même si nous utilisons gentiment tous les canaux d'expression officiels (coucou la pétition contre la loi Duplomb9), le bloc bourgeois ne cédera pas un pouce de pouvoir. D'où le déni de démocratie depuis un an, d'où les gouvernements invariablement de droite, avec LR qui semble faire la pluie et le beau temps malgré (...)
Comme toujours, le fascisme est le dernier refuge du capitalisme : ce n'est que par un concours de circonstances heureux que nos sociétés occidentales ont pu s'organiser de manière (plus ou moins) démocratique jusqu'à maintenant. Les fameuses « démocraties libérales » n'ont tenu que parce que l'amélioration progressive du confort matériel par la croissance économique a permis l'assentiment passif des classes prolétaires – encore une fois, au sens marxiste du terme (les classes qui vivent de leur travail, et non de leur capital).

Mais dès lors que leur qualité de vie se décorrèle de la croissance, les classes prolétaires plongent et cessent donc de consentir à l'ordre capitaliste, et c'est alors que les « démocraties » libérales montrent l'étendu de ce qu'elles ont de démocratique. Dans « démocratie libérale », le mot « démocratie » est accessoire, et la fascisation du bloc bourgeois en vue de la défense autoritaire envers et contre tout de l'ordre capitaliste est déjà bien entamée. C'est bien connu : ce n'est qu'en tirant sur la laisse qu'on se rend compte de son existence.

Les choses sont donc maintenant posées : même si nous gagnons les élections, même si nous utilisons gentiment tous les canaux d'expression officiels (coucou la pétition contre la loi Duplomb9), le bloc bourgeois ne cédera pas un pouce de pouvoir. D'où le déni de démocratie depuis un an, d'où les gouvernements invariablement de droite, avec LR qui semble faire la pluie et le beau temps malgré (...)
Comme toujours, le fascisme est le dernier refuge du capitalisme : ce n'est que par un concours de circonstances heureux que nos sociétés occidentales ont pu s'organiser de manière (plus ou moins) démocratique jusqu'à maintenant. Les fameuses « démocraties libérales » n'ont tenu que parce que l'amélioration progressive du confort matériel par la croissance économique a permis l'assentiment passif des classes prolétaires – encore une fois, au sens marxiste du terme (les classes qui vivent de leur travail, et non de leur capital). Mais dès lors que leur qualité de vie se décorrèle de la croissance, les classes prolétaires plongent et cessent donc de consentir à l'ordre capitaliste, et c'est alors que les « démocraties » libérales montrent l'étendu de ce qu'elles ont de démocratique. Dans « démocratie libérale », le mot « démocratie » est accessoire, et la fascisation du bloc bourgeois en vue de la défense autoritaire envers et contre tout de l'ordre capitaliste est déjà bien entamée. C'est bien connu : ce n'est qu'en tirant sur la laisse qu'on se rend compte de son existence. Les choses sont donc maintenant posées : même si nous gagnons les élections, même si nous utilisons gentiment tous les canaux d'expression officiels (coucou la pétition contre la loi Duplomb9), le bloc bourgeois ne cédera pas un pouce de pouvoir. D'où le déni de démocratie depuis un an, d'où les gouvernements invariablement de droite, avec LR qui semble faire la pluie et le beau temps malgré (...)
bhaugen
bhaugen boosted
bhaugen
bhaugen boosted
GeePawHill
GeePawHill boosted
The most accurate Charlie Kirk
obituary yet...

Charles James Kirk, 31, died on Wednesiiay
from a gunshot to the neck at a Utah
Valley University campus event just as he
was trying to deflect a question
about mass shootings by suggesting they were
largely a function of gang violence. He died with a
net worth of $12 million, which he made by
espousing horrific and bigoted views in the name of
advancing Christian nationalism. The foundation of
his empire was the group he cofounded and led,
Turning Point USA, which is a key youth-
recruitment arm of the MAGA movement.
Kirk was able to launch Turning Point at the age of
18 because he received money from Tea Party
member Bill Montgomery, right-wing donor Foster
Feiss, and his own father, also a prolific right-wing
donor. He was an unrepentant racist, transphobe,
homophobe, and misogynist who often wrapped his
bigotry in Bible verses because there was no other
way to pretend that it was morally correct.
He had children, as do many vile people. (0)
The most accurate Charlie Kirk obituary yet... Charles James Kirk, 31, died on Wednesiiay from a gunshot to the neck at a Utah Valley University campus event just as he was trying to deflect a question about mass shootings by suggesting they were largely a function of gang violence. He died with a net worth of $12 million, which he made by espousing horrific and bigoted views in the name of advancing Christian nationalism. The foundation of his empire was the group he cofounded and led, Turning Point USA, which is a key youth- recruitment arm of the MAGA movement. Kirk was able to launch Turning Point at the age of 18 because he received money from Tea Party member Bill Montgomery, right-wing donor Foster Feiss, and his own father, also a prolific right-wing donor. He was an unrepentant racist, transphobe, homophobe, and misogynist who often wrapped his bigotry in Bible verses because there was no other way to pretend that it was morally correct. He had children, as do many vile people. (0)